Chauffage électrique : 1,1 milliard d'euros par mois dépensés

Publié par Jennifer le

La somme vous parait considérable ? Oui, et c’est bien normal ! Nous consommons, en France, 1.1 milliard d’euros par mois pour nous chauffer avec un système de chauffage électrique. A l’heure où notre planète étouffe autant que nos portefeuilles, ne devons nous pas envisager de réduire ces gigantesques dépenses ?

Zoom sur les chiffres du chauffage électrique

Les chiffres ont été révélés par WattGo et Powermetrix, deux outils de mesure et maîtrise de la consommation électrique des foyers. Cette étude de la consommation électrique française leur a permis d’établir un baromètre national sur le sujet. Ainsi quelques chiffres sont à retenir :

  • 120 euros par mois en moyenne sont destinés au chauffage électrique,
  • 25 euros par mois s’ajoutent à ces dépenses pour l’utilisation d’un chauffage électrique d’appoint,
  • Soit, pour l’intégralité du pays, 1,1 milliard d’euros par mois sont dépensés pour assurer le confort dans l’habitat.

Tout le monde n’est pas logé à la même enseigne

Si les chiffres paraissent colossaux pour le chauffage électrique, l’étude précise que les autres systèmes de chauffage engagent autant de dépenses. Mais le plus inquiétant reste la disparité des consommations dans les différents foyers. En effet, le baromètre révèle que les familles les plus énergivores consomment dix fois plus que les plus économes ! Il est donc temps pour eux de réagir vite pour baisser ces dépenses, notamment en rénovant son habitat.

Le choix d’un système de chauffage moins couteux

Si le premier axe de rénovation est celui de l’isolation, il peut cependant s’avérer trop couteux pour les familles et engager des dépenses que le foyer doit anticiper. Pour baisser sa consommation, des systèmes de chauffage, moins couteux que la mise en place d’une nouvelle isolation, créeront un mur de chaleur, empêchant le froid d’entrer dans l’habitat et incitant les familles à baisser leur thermostat, c’est le cas par exemple des plinthes chauffantes.