Engagé de longue date auprès de celles et ceux qui veulent construire et rénover de façon plus durable, Weber continue de s’investir pleinement dans la transition environnementale.

À l’issue de cette nouvelle Semaine européenne du Développement Durable , Weber souhaite mettre en avant diverses initiatives qui ont ponctué l’année écoulée. Ainsi, 2024 voit le lancement de la gamme de produits « repère » enaé, à impact environnemental réduit, dédiée tant à la pose de carrelage qu’à la façade et au gros-œuvre. Par ailleurs, Weber continue de décarboner sa production, via l’usage de ressources recyclées en lieu et place de matières premières vierges non renouvelables, via également la réduction et la réintroduction des rebuts de production dans ses fabrications. Diminuer encore ses émissions de CO2 (notamment grâce à la mise en place d’une nouvelle technique de houssage des palettes) et favoriser davantage les circuits courts constituent toujours des axes de progressions privilégiés.

Exemples concrets à l’appui…

L’offre enaé, une démarche toujours plus durable !

« Notre posture est claire : l’exemplarité », confie Arnaud Tractère, Directeur Général Weber Saint-Gobain. « Artisans, distributeurs, prescripteurs, particuliers… nous souhaitons montrer l’exemple et accompagner la filière construction vers des pratiques plus responsables. »

Ainsi, avec sa gamme enaé, Weber s’adresse à celles et ceux qui souhaitent construire et rénover de manière plus durable, en réduisant l’empreinte environnementale de ses produits. Cette gamme « repère » se compose exclusivement de produits présentant une empreinte carbone réduite d’au moins 20 % et/ou une teneur réduite d’au moins 15 % en matières premières vierges non renouvelables, tous couverts par une FDES vérifiée par un tiers, publiée sur la base INIES.

Rappelons que cette nouvelle nomenclature émane de 10 années d’une incessante démarche d’innovation vers plus de durabilité, initiée par webercol flex éco, étendue par la suite à de multiples références sous l’identité « Les éco-engagés » puis « Les engagés ». Elle s’harmonise, de facto, avec la dénomination des produits plus durables des autres filiales du Groupe Saint-Gobain (lanaé pour Isover, infinaé pour Placo…) pour faciliter l’identification et la visibilité de ces solutions.

La signature de la gamme enaé s’avère des plus explicites : « enaé, ça change rien, mais ça change tout ! ». Effectivement, l’expérience Weber demeure inchangée pour ses partenaires, tant au niveau des produits toujours aussi qualitatifs, faciles à appliquer, performants et fiables, que des services, valorisant l’accompagnement clients. Ce qui change, c’est le fait de pouvoir compter sur des solutions plus responsables, en phase avec les enjeux essentiels du Développement Durable.

11 produits se trouvent déjà sous bannière « enaé », 4 dédiés à la pose de carrelage ainsi que 7 concernant des mortiers et sous-enduits. Et d’autres vont rejoindre la famille d’ici 2025. Au rang des nouveautés, citons Corps d’enduit chaux-chanvre enaé, formulé à base de chaux aérienne et de chènevotte fine (ressource renouvelable) en substitution totale du sable siliceux (non renouvelable). Au-delà d’être biosourcée, cette solution de rénovation, particulièrement adaptée au bâti ancien, présente l’avantage d’une densité humide réduite par rapport au corps d’enduit chaux traditionnel Georges Weber, facilitant ainsi sa mise en œuvre pour le projeteur. De plus, son rendement est fortement amélioré : environ 7kg/ m2 contre 13.5 kg/ m2. Bonus également, le packaging de 15 kg (au lieu de 25 kg), Weber mettant un point d’honneur à concevoir des produits ayant aussi pour vocation de réduire la pénibilité et d’améliorer les conditions de travail sur chantier.

Découvrir la gamme enaé sur le site Weber, https://www.fr.weber/enae et en vidéo sur YouTube, https://youtu.be/Lly_g3o7Ck8

Webercol fex éco fête ses 10 ans et devient webercol flex enaé !

Innovation brevetée, webercol flex éco se distingue pour avoir été la toute première colle à carrelage à impact environnemental réduit mise sur le marché, dès 2014. Aujourd’hui, elle devient webercol flex enaé : https://www.fr.weber/webercol-flex-eco-devient-webercol-flex-enae

Comme l’atteste sa FDES (Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire), la production de webercol flex enaé induit une amélioration de tous les critères de mesure de l’impact environnemental des produits. Ainsi, par rapport à celle d’un un mortier-colle de même classe de performance, elle permet non seulement une baisse de 50 % des émissions de CO2, mais également de 28 % de la consommation d’eau, de 27 % de l’utilisation d’énergies non renouvelables et de 25 % de l’épuisement des ressources.

En 10 ans, le volume de ventes de cette colle à carrelage a permis d’éviter l’équivalent de 57.000 tonnes de CO2.

Autre atout environnemental : webercol flex enaé a de très faibles émissions de COV et participe à la qualité de l’air intérieur, disposant du label A+ ainsi que du classement EC1 PLUS (note maximale) selon le protocole EMICODE.

Enfin, ses performances techniques demeurent optimales : gâchage rapide, formulation anti-poussière et texture onctueuse lui confèrent une mise en œuvre ultra facile. Précisons que la composition innovante de webercol flex enaé induit que le produit se révèle moins irritant, gage de bien-être pour l’artisan qui le met en œuvre en toute sérénité.

Une recherche constante sur la formulation des produits pour limiter l’utilisation de ressources vierges non renouvelables

Weber a travaillé très tôt sur l’intégration de matières premières alternatives (souvent des déchets, résidus ou co-produits issus d’autres industries) comme liants bas carbone dans ses solutions.

Les équipes techniques et industrielles œuvrent aussi à la substitution du sable vierge par des sables recyclés. Cette année, l’usine de Bonneuil (94) a bénéficié de ce remplacement du sable alluvionnaire, qu’elle utilisait jusqu’alors, par un sable recyclé. Weber s’est en effet rapproché de l’entreprise Solvavor, qui récupère les terres d‘excavation issues des chantiers du Grand Paris. Celles-ci sont acheminées par barge vers Rouen où le sable est séparé en différentes fractions granulométriques. Weber a défini les caractéristiques techniques et les spécifications de propreté d’une fraction, qu’il utilise donc désormais en lieu et place de l’habituel sable alluvionnaire, sachant que ce sable recyclé lui est livré par voie fluvial (un approvisionnement plus vertueux que par route). Aujourd’hui, 30 % du sable consommé par l’usine ont été remplacés par ce sable recyclé.

Une production toujours plus responsable

Weber veille à réduire les déchets non valorisés issus de ses processus de fabrication. L’objectif initial d’aboutir à un optimum de 90 % de déchets valorisés à l’horizon 2025 a été atteint dès fin 2023 avec un taux de près de 93 % !

Depuis 2021, des investissements ont été réalisés pour réintégrer directement les résidus de production dans les lignes de fabrication (initialement sur le site pilote de Dissay puis déployés sur nombre d’usines Weber telles Bonneuil, Nemours, Heyrieux, Sorgues…). En 2023, ces efforts ont permis de réduire les pertes de matières de 18 %, et l’objectif 2024 est de poursuivre cette démarche en visant une réduction de 18 % supplémentaires.

Autre actualité 2024 : Weber a investi un peu plus de 500.000 euros sur son site de Saint-Jacques-de-la-Lande (35) dans un nouveau dispositif de houssage de ses palettes-produits. Historiquement, usage était fait de housses plastiques qui devaient être chauffées pour se rétracter. Grâce à la mise en place d’un système de housses étirables mécaniquement, la quasi-totalité de la consommation de gaz a été supprimée sur site avec, à la clé, une économie de 40 tonnes de CO2 sur l’année. Forte de son succès, cette initiative sera d’ailleurs dupliquée à Bonneuil dès novembre (500.000 euros investis).

Par ailleurs, Weber a investi 800.000 euros pour disposer de 2 silos supplémentaires sur son site d’Heyrieux (38) permettant de fabriquer plus localement leur gamme GO-TP. Auparavant, 5.000 tonnes annuelles de mortiers techniques devaient être fabriquées en Île-de-France pour alimenter la région Rhône-Alpes / Sud-Ouest. Désormais ces 5.000 tonnes ne transitent plus du nord au sud mais proviennent directement du site d’Heyrieux, favorisant là-encore les circuits courts.

Rappelons que Weber veille à produire au plus près de ses clients, avec plus de 80 % de la production distribuée régionalement, à moins de 250 km de ces derniers. Weber s’est également engagé dans une démarche pour une logistique plus durable, avec une ambition de réduire ses émissions de CO2 liées au transport. Il a, en ce sens, rejoint en 2023 le mouvement Fret 21.

Des collaborateurs engagés autour des enjeux environnementaux

Afin de permettre à chacune et chacun de s’engager autour des grands enjeux environnementaux et des thématiques RSE, Weber France s’appuie sur le programme Agir Durablement du Groupe Saint-Gobain, initié en 2022. Dans ce cadre, des formations, des projets et des outils sont mis en place pour accompagner la transition.

Ainsi, Weber France déploie la Fresque du Climat, un outil qui a vocation de permettre à chacun de comprendre le fonctionnement, l’ampleur et la complexité des enjeux liés aux dérèglements climatiques. Aujourd’hui, ce sont 55 % de salariés Weber qui y ont été sensibilisés, l’objectif étant d’atteindre 80% d’ici à fin 2025.

Les collaborateurs ont également la possibilité de s’impliquer localement et de proposer des projets pour agir concrètement afin de réduire l’impact environnemental lié à leurs activités. Le projet de houssage mécanique de Saint-Jacques-de-la-Lande a ainsi été sélectionné par la Commission Agir Durablement du Groupe, et a pu bénéficier d’un financement.

Autre exemple, Weber s’engage en faveur de la mobilité verte, qu’il s’agisse de promouvoir l’utilisation du vélo, d’électrifier la flotte automobile ou remplacer les trajets en avion par des trajets en train lorsque cela est possible (obligatoire pour les trajets < 4 heures). Aujourd’hui, 13 % des salariés Weber bénéficient du service Zenride, pour la location longue durée de vélos, avec une option d’achat en fin de contrat.